A l’occasion de la semaine de la « Qualité de Vie au Travail », qui se déroulera en France du 9 au 13 octobre, Nomade propose une conférence gratuite dans son espace de Coworking.
RV le 9 octobre à 19h avec Pierre Marie Burgat qui traitera d’un management durable pour améliorer la qualité de vie au travail. Pierre-Marie Burgat est Manager, coach et psychologue, au sein de Stimulus. Humaniste convaincu, passionné par le facteur humain dans les organisations, pour une meilleure qualité de vie et plus de bien-être au travail.
Entrée gratuite sur réservation en appelant le 04 72 40 65 36.
Retrouvez toute l’actualité de Nomade sur https://nomade.lyon.laposte.fr/
L’épouse d’Antonin Poncet, Louise Tendret, était la fille de Lucien Tendret, avocat à Belley, qui écrivit le remarquable ouvrage « La table au Pays de Brillat-Savarin ».
Il était le neveu de Brillat-Savarin, l’auteur du non moins fameux « Physiologie du goût »,
fils de Claudine-Aurore Récamier, dite la belle Aurore, en mémoire de qui nous dégustons en fin d’année l’Oreiller de la belle Aurore… Hummmm…
Vendredi 29 septembre, le Dôme sera ouvert jusqu’à 22h. A cette occasion une visite « coulisse » sera organisée par un médiateur et Bertrand Buisson, le directeur technique de la Biennale. Ils aborderont les aspects plus techniques de l’œuvre. Venez nombreux !
Nous sommes heureux de compter Tendance Presqu’île parmi nos nouveaux membres et sponsors. Tendance Presqu’île valorise le centre-ville et ses boutiques et œuvre pour le territoire. Elle compte plus de 220 adhérents parmi les commerces, les grandes enseignes, les banques, les professionnels de l’immobilier commercial de la Presqu’île. Sont aussi membres de Tendance Presqu’île : l’Etat, le Grand Lyon, La Ville de Lyon, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Lyon, la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Rhône.
A noter que 15 octobre entre 11h et midi, nous avons le plaisir de proposer deux visites guidées historiques de la place Antonin Poncet en partenariat avec l’association Tendance Presqu’île. Vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire sur : www.mypresquile.com/rdv-mypresquile_copie/dimanche-15-octobre-2017.
Ces visites seront assurées par Michel Latard-Baton qui pilote notre Collectif Histoire.
Le smartphone est devenu un outil indispensable dans les moments de mobilité. LPA l’a bien compris et propose désormais LPA Parking, une application mobile complète pour faciliter le quotidien et fluidifier les parcours clients du début à la fin des trajets : recherche d’un parc, places disponibles, guidage, ticket dématérialisé, paiement… Une innovation pour favoriser l’intermodalité voiture-marche.
Les Amis de la place Antonin Poncet se félicitent de compter LPA parmi ses sponsors. LPA sera le partenaire officiel de la prochaine exposition de photographies d’art accrochée à partir du 20 novembre prochain.
Depuis sa création en 1991, Thierry Raspail, directeur artistique de la Biennale de Lyon, propose à chaque commissaire invité de réfléchir à un mot donné pour trois éditions. La Biennale de Lyon 2017 est le second chapitre d’une trilogie autour du mot « moderne », et c’est avec ce mot que Thierry Raspail a invité Emma Lavigne, directrice du Centre Pompidou-Metz, à imaginer cette 14e édition, à la Sucrière et au macLYON du 20 septembre 2017 au 7 janvier 2018 et sur la place Antonin Poncet jusqu’au 5 novembre.
Retrouvez aussi la Biennale à la Fondation Bullukian…
La Fondation Bullukian expose l’oeuvre de Lee Mingwei qui se fonde sur des collaborations avec des habitants, des lieux et des institutions du monde entier pour créer des installations fondées sur l’échange d’expériences intimes.
Depuis lundi, des équipes de montage s’activent en préparation de l’installation des deux œuvres exposées à l’occasion de la Biennale de Lyon. La place abritera le « Radome » structure emblématique de Buckminster Fuller issue des collections du Centre Pompidou, et en son sein « clinamen v2 » œuvre sonore de Céleste Boursier-Mougenot.
Et si la place Antonin Poncet devenait un lieu permanent d’exposition de sculptures contemporaines ? Depuis des siècles, cette place contribue à l’identité de la Ville de Lyon et porte en elle tous les symboles de l’Art de Vivre à Lyon. Une belle idée, non ?
Notre association est heureuse de compter la Biennale de Lyon parmi ses membres. Retrouvez toute la Biennale sur www.biennaledelyon.com
Les étudiants de l’École de Condé en 2ème année de la section Photographie ont travaillé toute l’année dernière pour embellir la place Antonin Poncet…
RV le 20 novembre pour découvrir leur exposition « Scènes de Ville ».
Un RV à ne pas manquer après la Biennale d’Art Contemporain.
En 1935, Notre-Dame de Thizy fut dotée d’un orgue qui provenait de l’église de l’hôpital de la Charité de Lyon démolie peu avant.
L’instrument, plusieurs fois remanié, avait connu un parcours mouvementé depuis ses origines au 18ème siècle…
En 1745, Riepp, fameux facteur d’orgues d’origine allemande, installe un orgue neuf dans le couvent des Bernardines à Dole (Jura). Restauré en 1786 par François Callinet, l’instrument disparaît peu après lors de la tourmente révolutionnaire.
En 1806, l’instrument réapparaît à Lyon, dans l’église de l’Hôpital de la Charité.
Au cours du 19ème siècle, différentes réparations sont effectuées. Celle de Michel Merklin donne à l’instrument la disposition en deux buffets qu’il avait encore à son arrivée à Thizy en 1935. Le facteur lyonnais Ruche l’équipe à cette époque d’une transmission électro-pneumatique. En 1988, la partie instrumentale de l’orgue est classée monument historique. En 1992, la Manufacture Languedocienne des Grandes Orgues restaure l’instrument. Le buffet en deux partie est réuni en un seul corps. Une transmission mécanique est installée en réutilisant la console séparée de Michel Merklin.
L’orgue de Thizy compte 1064 tuyaux en étain ou en plomb et 90 tuyaux en bois ! Leurs diamètres varient de 8 mm à 25 cm et leurs hauteurs de 22 cm à près de 2,80 m.
Le clocher de l’église Notre-Dame de la Charité, que nous connaissons aujourd’hui, remplaça un « clocheton » démoli en 1647 pour cause d’instabilité. Ce clocher, situé sur le collatéral nord, réalisé en 1666 par le maître-maçon Jacques Abraham dit « La Liberté », est une tour de plan carré avec chaîne d’angle en bossage. Il est surmonté d’une haute lanterne de deux étages de forme octogonale et d’un dôme à huit pans en tuiles-écailles vernissées noires. Le dôme est lui-même surmonté d’un lanternon et d’une croix en cuivre réalisée par Alexandre Colbenschlag maître chaudronnier.