Livraison gratuite en moins d’une heure !

Comme vous le savez, le MONOP’ Bellecour est membre de notre association et soutient notre action citoyenne de valorisation de la place.


La sympathique équipe de Teddy Bauer nous accueille du lundi au samedi de 7h30 à minuit et le dimanche de 8h30 à 13h.




Les livraisons à domicile sont gratuites à partir de 50€ d’achat dans un périmètre d’un kilomètre autour du magasin.




Profitons-en !




https://www.monoprix.fr/monop-lyon-bellecour-lyon-69002-s

« C’est l’Hôpital qui se fiche de la Charité »

Armoiries de l’Hôtel Dieu (à gauche) et Armoiries de La Charité (à droite)

Cette expression se dit lorsque quelqu’un blâme un autre d’un défaut qu’il possède lui-même. Selon Nizier du Puitspelu, le Littré de la Grand’Côte, (1894), entrée « HÔPITAL ».

A partir du XVIIe siècle, spécificité lyonnaise, il existait à Lyon, à 300m l’un de l’autre, deux Hôpitaux Généraux : l’Hôpital de l’Hôtel-Dieu et l’Hôpital de la Charité, qui abritait surtout des indigents. Les faits montrent qu’il y avait une rivalité certaine entre ces deux établissements, même sur le plan architectural, d’où de probables critiques de l’un vis-à-vis de l’autre et vice-versa. C’est de là qu’est née l’expression : « c’est l’hôpital qui se fiche de la charité ».

Lien video: Les Amis de la place Antonin Poncet et l’hôpital de la Charité et Les Amis de la place Antonin Poncet et l’hôpital de la Charité – Vidéo avec sous-titres

Le dôme place Antonin Poncet






La 14ème Biennale de Lyon se tiendra du 20 septembre 2017 au 7 janvier 2018 à la Sucrière et au mac de LYON. La Biennale s’exposera également en plein centre ville sur notre place. L’oeuvre emblématique de Buckminster Fuller issue des collections du Centre Pompidou, « Radome » (1957), présente une architecture géodésique qui abritera « clinamen v2 » oeuvre sonore de Céleste Boursier-Mougenot. Ce dialogue exceptionnel entre les œuvres de deux grands artistes proposera une expérience unique. Ce 3ème lieu gratuit, ouvert et plein de poésie, s’offrira aux passants dès le 20 septembre et jusqu’au 5 novembre 2017.




Notre association est heureuse, à cette occasion, de compter la Biennale de Lyon parmi ses membres.
Retrouvez toute la Biennale sur www.biennaledelyon.com

En savoir plus sur Antonin Poncet…



Source Archives de Lyon – 3C390 : Antonin Poncet

Antonin Poncet (1849-1913) eut une carrière considérable.

Né en 1849 à Saint-Trivier-sur-Moignans (Ain), il devint Docteur en médecine en novembre 1876, et se présenta en 1876 au concours de chirurgien-major de la Charité, mais ne fut pas retenu. Par contre le 30 juin 1879, il fut reçu au concours de chirurgien-major de l’Hôtel-Dieu, à l’âge de trente ans. Nommé agrégé de chirurgie au premier concours de la nouvelle Faculté de Lyon en 1878, il fut chirurgien-major l’année suivante, avant d’être nommé professeur de clinique chirurgicale.

Il fut le chef de file des vulgarisateurs de l’aseptie et, après un voyage chez Joseph Lister en 1881, fut convaincu par ses idées, et sut faire comprendre à l’Administration la nécessité d’une salle d’opération moderne, qu’il put utiliser dès 1889 : sol en ciment, pas d’angle mort, pas de placards, mais des étagères en verre et des meubles en métal. Le modèle du genre.

Il fut mis en vedette lors de l’attentat contre le Président Sadi Carnot, le 24 juin 1894, où avec l’aide de Louis-Léopold Ollier, il tenta sans anesthésie une laparotomie avec tamponnement ; cette opération rapide ne put pourtant venir à bout d’une lésion comportant une plaie de la branche droite de la veine porte.
Il succéda à Léon Tripier comme professeur de médecine opératoire et de clinique chirurgicale à la Faculté de médecine de Lyon, et vulgarisa la méthode antiseptique.

Poncet fut un important chef d’école, maître de René Leriche, perfectionnant particulièrement la chirurgie du corps thyroïde, de l’hypertrophie prostatique (cystotomie suspubienne en 1888), et du rétrécissement de l’urètre (urètrostomie périnéale).
Il couronna son œuvre scientifique par l’identification du rhumatisme tuberculeux, qui suscita bien des oppositions, mais fut finalement reconnu comme une entité.

Nombreux sont ceux de ses assistants qui menèrent de brillantes carrières : Alexis Carrel, René Leriche, Léon Bérard, Xavier Delore, Louis Dor…

Il décéda subitement, le 15 septembre 1913, à Culoz dans la maison qu’il avait fait restaurer et dont sa femme, Louise Tendret, avait hérité en 1895 de Lucien Tendret, son père, avocat à Belley.


Lien video : Connaissez-vous Antonin Poncet ? et Connaisez-vous Antonin Poncet ? Vidéo avec sous-titres

L’immeuble Thibière



Le premier immeuble situé au nord-ouest de la place Antonin Poncet a été réalisé d’après les plans de Robert de Cotte architecte royal de Louis XIV au début du 18e siècle.
En 1793 cet immeuble est détruit par les révolutionnaires parisiens en même temps que d’autres immeubles situés sur la place Bellecour. Le 26 juin 1800, Napoléon pose la première pierre de la reconstruction de cet immeuble et des façades selon les nouveaux plans de Gabriel Thibière (1758-1822) corrigés par Pascal Gay (1775-1832).

L’immeuble, aujourd’hui connu sous le nom d’immeuble Thibière, a été réalisé entre les années 1806 et 1814. Il reprend le rythme et l’emprise au sol des immeubles de la place Bellecour mais il rejette les fenêtres cintrées et le grand fronton triangulaire caractérisant les façades à l’antique de Robert de Cotte. Il abrite aujourd’hui des bureaux, des appartements privés, le Café Français et tout récemment le Monop’ Bellecour. L’entrée de cet immeuble se fait par le 10 rue des Marronniers et le 19 place Bellecour.


Elévation Robert de Cotte

Toujours fleuri






Depuis maintenant 4 ans, Fanny et 4 autres restaurateurs de sculptures, tous diplômés de l’Institut National du Patrimoine, veillent au bouquet de l’artiste Jeong Hwa Choi. Ils entretiennent et restaurent la pierre, le bois, le plâtre, la résine, le métal, etc. des sculptures en extérieur appartenant à la Ville de Lyon.




Depuis la commande et la création de ce bouquet, l’objectif de l’artiste a été d’établir une liaison entre la place Antonin Poncet et l’embarcadère sur le Rhône. Objectif réussi ! Les piétons se sont réappropriés cet espace depuis l’implantation du bouquet. Rappelons qu’il a été installé sur cet emplacement en 2003 à l’occasion d’une Biennale d’Art Contemporain et que la ville l’a définitivement acquis et réinstallé en 2007.







Aujourd’hui, la pollution, la pluie, le soleil, le gel, etc. fragilisent le bouquet fait de métal et de résine. L’objectif de la restauration est de stabiliser ces dégradations et de faire face au vandalisme.




En 2014 et 2015, Fanny et son équipe ont sécurisé les fleurs, les ont toutes nettoyées et ont réorganisé le bouquet afin que les fleurs les plus faciles à voler soient positionnées en hauteur. En 2016, l’armature en métal a été traitée. Chaque année, ce sont aussi 4 ou 5 fleurs qui font l’objet d’un traitement et d’un nettoyage global. Grâce à ce travail méticuleux, espérons que le bouquet fleurisse encore longtemps sur la place…




En attendant, on se retrouve sur place le 19 juin prochain pour admirer la pose de 3 nouvelles fleurs !



Une nouvelle Étoile pour Tribune de Lyon

Tribune de Lyon, membre et soutien actif de notre association, vient d’obtenir, pour la deuxième année consécutive, une Étoile décernée par l’ACPM (Alliance pour les Chiffres de la Presse et des Médias, ex-OJD). Ce trophée récompense l’une des plus fortes croissances des ventes de presse en France. Il distingue le travail et l’implication de toute une équipe composée de 25 personnes. Il met en lumière un record de progression des ventes de plus de 15 % par an, en moyenne, au cours des cinq dernières années.

Bravo à François Sapy et toute son équipe !

Nous sommes fiers que Tribune de Lyon ait choisi la place Antonin Poncet pour accueillir ses bureaux !

www.tribunedelyon.fr

le 13 mai 2017 au matin

Nous sommes fiers d’avoir cette année encore montré l’exemple et donner un coup d’éclat à notre place.
Merci à tous nos partenaires (Amarylice, Gourmix, les Restaurants & Brasseries de Lyon®Bocuse/la Brasserie Le Sud, le Sofitel Bellecour, Tribune de Lyon), nos membres et aux services de la ville. Le service de nettoiement du Grand Lyon nous a prêté outils et petit matériel et a collecté l’ensemble des déchets ramassés très vite en début d’après-midi.
On renouvelle et on se retrouve l’an prochain !